Il parait que finalement, cela arrive souvent, plus souvent qu'on ne le croit! et cela est arrivé à quelqu'un que je connais bien ! Nous tairons bien sûr son nom. L'autre jour, on me raconte donc une histoire, qui se passe dans New-York, entre Madison et 69th : pour ceux qui ne connaissent pas, c'est l'upper east side, donc endroit bien chic et assez fréquenté... X retourne à sa voiture, range la poussette de son enfant dans le coffre, le ferme et retourne à l'avant de la voiture pour s'en aller; sauf que là, cette personne réalise qu'elle a laissé les clés à l'intérieur... Oups, gloups! Et - bien sûr Bébé se met à pleurer car commence à avoir faim... re-oups, re-gloups... Que faire dans cette situation?
- Réponse A : casser un carreau?
- Réponse B : appeler son assurance?
- Réponse C : crier au secour?
Et bien aucune de ces réponses n'est la bonne, dans un tel cas, comme pour de nombreux autres, il faut appeler le 911. Le fait d'avoir un enfant coincé à l'intérieur est alors considéré comme une urgence! Cette personne appelle donc le 911, explique la situation; l'agent au bout du fil lui annonce donc lui envoyer les pompiers! Aussi, nous vous le rappelons, nous vivons aux USA, le pays où rien ne se fait dans la demi mesure... Cette personne donc, 5 minutes plus tard, n'en croit pas ses yeux! D'abord une patrouille de deux cops arrive, puis ce n'est pas une petite camionnette avec 1 ou 2 pompiers qui se déplace, mais la grande échelle, avec la brigade entière (8 pompiers!).
La badauds s'agglutinent... Et bien, figurez-vous que les pompiers, à l'aide de cales en bois et de glissières en métal, en s'attaquant aux deux portières avant, ont réussi, en moins de 5 minutes à ouvrir la portière et rendre l'enfant (qui ne pleurait plus) à son parent. Cette personne était bien contente de récupérer son petit bébé, et a bien remercié les pompiers! Ce service est gratuit (comprendre, il fait partie de vos taxes), la seule chose qu'elle aura à payer sera éventuellement le joint de la portière, abimé par la glissière en métal.
Les personnages et les situations de ce récit étant purement réels, toute ressemblance avec des personnes ou des situations existantes ou ayant existé ne saurait être que infortuite.